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Conflits armés, catastrophes naturelles, déplacements de populations… Partout où le monde se dérègle, il produit de la souffrance. Et cette souffrance est encore pire pour les plus petits qui doivent survivre dans notre monde d’adultes. Dans les marges du monde, là où les regards ne se posent plus, des milliers d’enfants vivent aujourd’hui sans protection, sans voix, parfois même sans nom. Ils sont les plus petits, les plus oubliés.

L’association souhaite réouvrir d’urgence les yeux du public sur la dureté de ce qu’ils vivent et pousser un cri : le cri des enfants en danger vital, de ceux qui survivent aujourd’hui dans des contextes de violence, de pauvreté extrême, d’exclusion ou de crise. À l’heure où l’aide humanitaire internationale se réduit et où l’actualité provoque une forme de sidération qui semble relayer le sort des enfants au second plan, l’association appelle responsables politiques, journalistes et citoyens à se remobiliser d’urgence pour les petits.

La campagne conçue par l’agence s’articule autour d’une question désarmante de simplicité qu’aurait certainement posée Sœur Emmanuelle : Qui s’occupe des enfants ? Une question courante, banale, que se pose régulièrement tout parent et dont la simplicité rappelle l’évidence : les enfants, ça ne s’oublie pas. Et il n’est pas concevable de les laisser livrés à eux-mêmes.

La campagne se déploie dès novembre en presse nationale, sur les médias digitaux (sur les réseaux sociaux et Meta…) et fera l’objet d’autres actions ciblées pour engager citoyens, journalistes et décideurs.